Toi qui scande mes sols d'une syncope épuisé Toi qui noie sous l'asphalte mes mouvements amphibiens Toi qui filtre mon regard d'un mouvement enlisé Toi qui lèche de tes yeux les enfants de mes pas Toi qui fouille mes cours, mes jardins délicieux Toi qui signe sans odeurs un parcours sans trépas Toi qui pose, insolent, un obstacle à mes jeux TOI. Toi qui franchi les rivières de mon labyrinthe quotidien
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