Notes prises il y a quelque temps déjà à propos de l'enroulement sur elle même d'une citée-abbaye autour d'un éperon rocheux, ou encore : comment tirer avantage d'un terrain rendu difficile par son émergence topographique par le simple enroulement autour de l'éperon de la rue principale qui fait que le cheminement de l'entrée de la citée à son aboutissement au point le plus haut (esplanade de l'église de l'abbaye) est l'occasion d'une mise en scéne de séquences urbaines simples : constructions du stockage des denrées, puis Maisons des Convers, puis encore place "laïque" et enfin esplanade de l'église.
L'articulation de chacune de ces séquences se fait par le biais d'un angle particulièrement travaillé, qui à la fois clos la séquence précédente et en même temps introduit à la suivante.
Les ruptures de pentes : Contreforts en Socle de Ville.
La dernière séquence, l'espace laïc, profite de l'effet de plateau de la partie supérieur de l'éperon : respiration horizontale, ce lieu est le dernier dispositif qui éloigne de l'ultime espace sacré. On y traite les affaires séculières avant d'aborder l'église, lieux de l'Intemporel : l'Ekklesia, où se met en relation l'Homme et le Divin :
Au plus haut pour être au plus prêt du Cosmos
Au plus Loin pour imposer le respect du Mystère.
C'est parce que je mange ENORMEMENT ... I've got a worm too ... :P
Rédigé par : Laurent A. | 08 juin 2005 à 12:20
sAinte mère !
quelles énergies !
;)
Rédigé par : L. | 07 juin 2005 à 14:18