Viens allons là où il n'y à RIEN, là où tout passe, là où meurent les chiens Viens poser ta joue sur le bitume, flatter l'asphalte, allons toucher la lune Viens je plongerai sous la noyade, jouer à saute-rives, inviter les naïades Mais plus tard quand c'est la nuit, le ciel qui bave, l’incisive qui luit Il faudra que tu me dévore petite bouche, il le faudra sans aucun bruit
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