Sous le monstre grouillent, rampent et se faufillent de petits cancrelas métalliques. Mais Impérial il dort. Et rêve. Et s'hérisse la couronne du fétide repas qu'il fait sans cesse, festin liquide infusant ses raçines en rhyzomes d'un sous-sol appauvri, mort presque, d'avoir été tant de fois perfusé , labouré, ravagé. Huitre géante, il s'accroche aux roches chaotique de l'urbaine région. Il s'y pose, tendu d'un seul creux tout entier rempli d'un vide précieux Mais le sommeil pèse, et enkyste parfois les esprits telluriques. Alors c'est l'éveil puisqu'il résonne certains soir quand , sous la clameur populaire ample comme une voile, la foule hystérise la perle d'un ballon rond.
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