Le bâti n'est pas mort.
Il est coquille de nos corps, cet espace de la vie, il est une pensée du construit, il a la beauté des choses pensés, orchestrée, mise en oeuvre et en scène.
Il n'est pas mort, et le prouve en armant un beau navire, dont la proue fend l'océan de l'espace virtuel qui de partout maintenant nous inonde, immonde, marée qui ne cesse de monter jusqu'à nous asphyxier du lourd de sa vacuité.
