Monstrueusement, la pierre garde en son grain un peuple retranché.
Ils survivent sous l'emprise d'une îvresse lithographique dont l'ombre s'essaye à masquer l'ancienne douleur que la lumière crue du jour vient, à jamais, regénérer.
Parfois cette foule d'âmes sans visages bruisse, révolte automnale qui marche au son des branches qui se brisent de tristesse.
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