Et puis après, je me retourne et il ne reste plus que ta chaise.
Et tu n’es déjà plus là, partie sans laisser même planer dans l’air le bruit du froissement des feuilles qu’obligatoirement tu auras foulé.
Et moi… obligé, je stagne. Obnubilé par tant d’absence. Figé par la presque-beauté de tes lendemains sans moi
Mais il reste, que tu le veuille ou non,
Le tintement des cordes à linges lestées par le lourd d’un linge propre
La lumière chafouine qui cligne des yeux sous la voute arbustive,
Et la parole chuchoté d’un vent qui brise –définitif- les mots que tu as cru bon de me laisser
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